Camagüey

La province Camagüey est subdivisée en 13 municipalités:

Camagüey
  1. Camagüey
  2. Carlos Manuel de Céspedes
  3. Esmeralda
  4. Florida
  5. Guáimaro
  6. Jimaguayú
  7. Minas
  8. Najasa
  9. Nuevitas
  10. Santa Cruz del Sur
  11. Sibanicú
  12. Sierra de Cubitas
  13. Vertientes



Géographie

La province de Camagüey est majoritairement plate, et ne possède aucune colline ou chaine montagneuse importante.

La côtes nord et sud possèdent de nombreux bancs de sable et notamment celui où Fidel Castro a l’habitude d’aller pour pêcher : l’Archipiélago Jardines de la Reina.

On trouve également des plages sablonneuses sur les deux côtes,

et en dépit d’un grand potentiel pour le tourisme,cette province de Cuba n’a vu que peu de développement dans ce secteur.

À l’exception de la plage de Santa Lucía, sur la côte nord.

Histoire & économie

Les Unités militaires d’aide à la production (UMAP).

Les camps de travail destinés dans les années 1960, à « rééduquer » les homosexuels et les individus asociaux sont installées dans la province de Camagüey

L’économie de la province de Camagüey est principalement l’élevage de bétail et de poulets et la culture du sucre et du riz (dans le nord et le sud).

Il existe aussi une petite industrie d’agrumes et la capitale accueille une des brasseries de l’île.

La province est connue pour sa culture de cow-boy, avec l’organisation fréquente de rodéos.

Les Jardines de la Reina

(« Jardins de la Reine ») sont un archipel situé en mer des Caraïbes et dans les provinces de Camagüey et de Ciego de Ávila, à Cuba.

Il a été nommé par Christophe Colomb en l’honneur de la Reine d’Espagne.

L’archipel est devenu un parc national en 2002 et il est l’une des plus grandes zones protégées de Cuba.

 

Huber Matos, qui a libéré Santiago de Cuba, est nommé commandant militaire de la province de Camagüey.

Mais il critique Fidel Castro et il est en désaccord avec la suppression d’une part de la Constitution démocratique et progressiste de 1940 et d’autre part des élections libres.

Il présente sa démission, le 19 octobre 1959. Il est alors traduit devant un tribunal, Fidel Castro le fait condamner à 20 ans de prison.